Sélectionné en compétition officielle à Cannes, ALPHA raconte l’histoire d’une adolescente vivant avec sa mère dans une ville où sévit un virus mortel. Quatre ans après TITANE, qui avait reçu la Palme d’Or, Julia Ducournau met à l’affiche Tahar Rahim et Golshifteh Farahani dans ce qui est à la fois un film de fantômes, un film sur une pandémie, un film post-apocalyptique et un film sur l’adolescence féminine.
ALPHA
Julia Ducournau pour son 3e opus traite d'une épidémie mortelle et comment une famille tente d'y résister. Un film d'épouvante cauchemardesque.
ALPHA | SYNOPSIS
Alpha, 13 ans, est une adolescente agitée qui vit seule avec sa mère. Un tatouage au bras qu’elle s’est fait faire par insouciance lors d’une soirée va bouleverser sa vie. Un impitoyable nouveau virus qui se transmet par le sang vient en effet d’apparaître, et Alpha, blessée, devient un danger potentiel aux yeux des autres.
ALPHA | BRÈVE CRITIQUE
La cinéaste, auréolée d’une Palme d’Or pour son film TITANE en 2021, revient avec un body-horror movie qui met en scène une famille en prises avec le virus du sida. Les interprètes, Tahar Rahim en tête, jouent admirablement leur partition. La réalisatrice pousse à nouveau les curseurs du spectaculaire en injectant des images choc, souvent effroyables mais toujours d’une grande beauté. Une claque esthétique. Ondine Perier
ALPHA | AUTRES AVIS
Mal accueilli à Cannes, qui lui a peut-être fait payer sa Palme d’or pour TITANE, ALPHA dégage une poésie incandescente même si la continuité de la narration laisse parfois à désirer. Mais comme c’est beau, et la performance de Tahar Rahim s’avère une nouvelle fois stupéfiante. – Le Parisien | «Pas toujours limpide, assurément clivant… mais bouleversant.» – La Voix du Nord | «A la force esthétique du film s’ajoute une puissance émotionnelle qui nous renvoie à nos propres deuils et névroses familiales.» – Positif | «Film sur la peur de perdre ceux qu’on aime, sur les corps qui nous trahissent, sur les traumas qu’on transmet, ALPHA résonne fort.» – Première