*SARAH BERNHARDT LA DIVINE n’est pas un biopic traditionnel sur la vie de l’actrice, mais retrace des moments charnières de sa carrière, sur 30 ans, comme l’explique Guillaume Nicloux : “Nous avons progressivement dégagé deux axes parmi la folie et le tourbillon que fut sa vie : la journée de son jubilée et l’amputation de sa jambe. Paradoxalement, les deux moments clé que l’on a choisis sont peu documentés.”
SARAH BERNHARDT - LA DIVINE
Sandrine Kiberlain incarne avec naturel et aisance cette légende du théâtre au fort tempérament.
SARAH BERNHARDT – LA DIVINE | SYNOPSIS
1915, Sarah Bernhardt est la première star mondiale. Libre. Moderne. Divine. Excentrique. Visionnaire … Entre légende et fantasme, Sarah Bernhardt nous confie l’histoire d’amour qui a marqué sa vie.
SARAH BERNHARDT – LA DIVINE | AVIS
«SARAH BERNHARDT – LA DIVINE, réalisé par Guillaume Nicloux, explore la vie tumultueuse de l’actrice mythique à travers le prisme de son histoire d’amour contrariée avec Lucien Guitry, père de Sacha. Sandrine Kiberlain incarne avec naturel et aisance cette légende du théâtre, Laurent Laffitte se révèle tout aussi crédible en Guitry. Cette fresque historique brille par ses costumes somptueux, sa reconstitution minutieuse et une galerie de personnages secondaires savoureux. Grégoire Le Prince-Ringuet incarne Maurice, le fils adoré de Sarah, tandis que Samira Casar donne vie à Louise Abéma, la meilleure amie-amante de la Divine, enrichissant ainsi ce tableau intime. Le film dépeint une Sarah Bernhardt audacieuse, avant-gardiste et engagée, non seulement à travers ses discours féministes et ses mœurs libres, mais aussi par sa détermination et son courage face aux défis de son époque. Guillaume Nicloux nous offre ici une plongée dans l’univers fascinant de la Divine, où drame personnel et grandeur artistique se mêlent avec brio.» – Ondine Perier. clickcinema.ch | «C’est cette femme aux multiples facettes que Guillaume Nicloux (VALLEY OF LOVE) raconte, avec quelques mensonges historiques assumés mais une grande vérité psychologique, dans son nouveau film.» – Télérama