HIVER A SOKCHO a été adapté du roman du même titre d’Elisa Shua Dusapin, qui a reçu le
Prix Robert Walser 2016 et le Prix Régine Déforges. «En lisant le livre, j’ai ressenti un lien
profond et nuancé avec le personnage principal et l’univers de l’auteure. Cette alchimie n’a fait
que se renforcer lorsque j’ai rencontré Elisa alors que j’adaptais cette histoire en une œuvre
intime qui faisait écho à ma propre vie.» témoigne le réalisateur franco-japonais Koya Kamura.
HIVER À SOKCHO
Premier long métrage de Koya Kamura très sensoriel avec une attention particulière portée sur l’atmosphère.
Koya Kamura est un réalisateur franco-japonais né et élevé à Paris. Diplômé de l’Université
de Paris VII avant d’étudier à l’Université Keio de Tokyo, il débute sa carrière en France au
sein du groupe VIACOM (MTV, GameOne) en 2007 puis rejoint la Walt Disney Company en
2008 en tant que producteur créatif et réalisateur. Koya Kamura a fait ses débuts de réalisateur de fiction avec son court-métrage HOMESICK en 2019, dont l’action se déroule dans la zone d’exclusion de Fukushima et qui a été acclamé et récompensé par des prix internationaux, y compris une sélection pour les César en 2021. En 2023, Koya a réalisé son premier long métrage, HIVER À SOKCHO, avec l’acteur français de renom Roschdy Zem et Bella Kim, filmé en Corée. Koya Kamura est actuellement en train de développer son deuxième long métrage, ÉVAPORÉ, un film noir qui se déroule à Fukushima.
HIVER À SOKCHO | SYNOPSIS
À Sokcho, petite ville balnéaire de Corée du Sud, Soo-Ha, une jeune femme de 23 ans, mène une vie routinière entre ses visites à sa mère, marchande de poissons, et sa relation avec son petit ami, Jun-oh. L’arrivée d’un Français, Yan Kerrand, dans la pension où elle travaille, réveille des questions sur sa propre identité. Alors que l’hiver engourdit la ville, ils vont s’observer, se jauger et tisser un lien fragile.
HIVER À SOKCHO | AVIS
«Cette coproduction franco-coréenne mérite le détour pour la finesse de son portrait psychologique et un décor urbain austère à contre-courant des codes romanesques.» – àVoir-àLire | «Le cinéaste franco-japonais Koya Kamura signe un premier long métrage intime, sensible et atmosphérique, sur le chemin de l’acception de soi» – cineuropa | «L’histoire de ce premier long métrage , adaptée du roman d’Elisa Shua Dusapin (éd. Zoé) est de celles, qui, par la grâce de leur mise en scène et des comédiens, laissent une empreinte tenace.» – Baz’Art