«C'est un projet qui a été démarré par Charles lui-même. C'est là qu'il avait envie de produire un film sur sa vie.»
«Je veux faire réfléchir au rapport au monde et aux conséquences de la consommation, de la modernité»
La réalisatrice évoque son premier film très réussi avec beaucoup d'empathie pour son personnage, asservi par les réseaux sociaux et la télé-réalité.
« Je voyais ce pays - l'Afghanistan - avec des sourires alors qu'on me l'avait toujours présenté comme un pays de souffrance. »
«C'était évident et facile de jouer des frères : on se connaît par cœur donc on est quasiment frère dans la vie. On se fréquente depuis le collège.»
«TROIS AMIES, c'est le portrait de trois femmes liées par l'amitié et qui ont un rapport très différent à l'amour, à l'honnêteté.»
« On ne veut pas travailler avec vous, il y a deux pelleteurs gays dans le film.»
«À travers Touda, j’avais envie d'exprimer tout le champ des libertés de cette femme, y compris sa liberté sexuelle.»
« Le fait que Leni Riefenstahl mentait est bien connu. Elle était idéologiquement impliquée dans ce régime ».
«Avec EN FANFARE, je voulais à nouveau souligner que la culture est accessible à tous et qu'il y a du talent dans tous les milieux. .»
«Ce duo de ces sœurs jumelles pianistes est d’une rare intensité, un peu mystérieux, et c’est ce qu’on a voulu transmettre dans le film.»
«Ce qui nous importe, c’est de montrer les récits qui reflètent le mieux notre époque.»
«Le personnage féminin va voir qu'entre les chiens et les femmes, il y a vachement plus de points de ressemblance que ce qu'on croyait au départ.»
« Avec le temps, c'est devenu quelque chose de presque méditatif de venir ici et de filmer ».